Un Joël Dicker, mais pas le dernier

Aujourd’hui je ne vous parlerai pas de l’Enigme de la chambre 622, dernier ouvrage de Joël Dicker – la presse s’en charge. Je voudrais plutôt partager avec vous son premier roman. Les derniers jours de nos pères est celui que j’ai préféré.

Les derniers jours de nos pères, Joël Dicker
 

Aujourd’hui je ne vous parlerai pas de l’Enigme de la chambre 622, dernier ouvrage de Joël Dicker – la presse s’en charge. Je voudrais plutôt partager avec vous son premier roman. Les derniers jours de nos pères est celui que j’ai préféré.

 

Vendu à seulement quelques centaines d’exemplaires, ce roman historique évoque le SOE, une branche des services secrets britanniques, imaginée en 1940 par Churchill. Dicker raconte le recrutement de jeunes français dans ce service et leur contribution à la formation des réseaux de résistance en France.

 

S’appuyant sur des faits historiques, Dicker nous fait partager l’engagement de ses personnages. J’ai aimé ce roman, tremblé à la lecture de certains passages, souhaité qu’il n’arrive rien à Marie:

 

« Un vent léger traversa alors le boulevard (…) se mêlant à l’élan de la bicyclette, il souleva une fraction de seconde la robe de Marie. Et Kunszer, qui n’avait pas quitté la jeune femme des yeux, aperçut alors le canon d’une arme. »

 

 

Je vous recommande la lecture du premier Dicker. Il a dû convaincre son éditeur de le publier et il a bien fait !

 

Qu’en pensez-vous ?

 

Les derniers jours de nos pères, Joël Dicker, Editions De Fallois/L’Age d’Homme

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