Cet automne, je vous recommande trois romans qui m'ont beaucoup plu.
Les obus jouaient à pigeon-vole, de Raphaël Jerusalmy
La carte postale, d’Anne Berest
35 kilos d’espoir, d’Anna Gavalda
Cet automne, je vous recommande trois romans qui m'ont beaucoup plu.
Les obus jouaient à pigeon-vole, de Raphaël Jerusalmy
La carte postale, d’Anne Berest
35 kilos d’espoir, d’Anna Gavalda
Américaine vivant depuis plus de 30 ans dans la cité des Doges, Donna Leon déploie son talent au fur et à mesure de ses intrigues. Dans La Tentation du Pardon, l’intrigue prend place dans une Venise glaciale et mystérieuse.
Nous voilà embarqués dans la vie de la famille Martin. On entre dans leur salon, et comme dans le jeu des sept familles, on fait connaissance à tour de rôle de la grand-mère, la mère, du père, de la fille et du fils.
Un très beau roman, poétique à lire pour le plaisir de l’écriture de Elisa Shua Dusapin, autrice franco-coréenne.
Ce roman nous plonge dans le Maroc des années cinquante, dans le quotidien des Marocains, des Européens, des femmes, des journaliers, des paysans, des exilés qui se côtoient.
Aujourd’hui je ne vous parlerai pas de l’Enigme de la chambre 622, dernier ouvrage de Joël Dicker – la presse s’en charge. Je voudrais plutôt partager avec vous son premier roman. Les derniers jours de nos pères est celui que j’ai préféré.
En cette fin de mois d’avril, je vous recommande quatre livres. Des classiques pour tous les âges.
À mes élèves, à mes étudiants
Novecento nous emporte avec lui dans le tumulte de la musique et de l’océan, avec les passagers de 3ème classe du bateau qui l’écoutent.
C’est difficile d’aller en pension lorsqu’on a 11 ans. C’est là que la mère de Jean Gilles l’envoie pour qu’il poursuive ses études.
« Le 13 septembre 1940, à Buenos Aires, l’après-midi était pluvieuse et la guerre en Europe si loin qu’on pouvait se croire encore en temps de paix. »
Trois saisons d'orage, de Cécile Coulon.
Evoquer ce roman, c’est commencer par le lieu presque mythique et pourtant bien réel où il se déroule: le massif des Trois-Gueules, qui a sa propre vie, son histoire, tout aussi importante que celle des protagonistes.
Octobre, le moment où l’on est vraiment en cours, cela a commencé tranquillement et tout à coup le rythme s’est installé. On réalise qu’il faut se mettre au travail.